SISERI consultation PCR Dosimétrie individuelle passive.

Bonjour a tous,
Une question me taraude l’esprit et vu ma génération c’est un taraudage et je ne tiens pas à Peter un boulon !je plaisante.

Pourrez t-on me dire a quoi correspond le « oui » dans le tableau de consultation de la dosimétrie individuelle passive sur le site SISERI. ( nos intervenants sont équipés de film de dosimétrie passive de type Radio photo luminescent sans adjonction de films Neutrons.
Deuxio:
Est t'on sur que l on consulte la dosimétrie passive??? Car sur douze mois glissants elle se révelle superieure en génerale à la dosimétrie opérationnelle !!
Pour trouver ce tableau il suffit de consulter la dosimétrie « passive » de l’entreprise et ensuite de cliquer sur le nom d’un intervenant
Constitution du tableau .
1 ère colonne : mois glissants sur 1 an.
2 eme colonne :enquête
3 eme colonne :observation émetteur.
4 eme colonne :Doses complémentaires (that is a question).
5 eme colonne :Valeur efficace.
6 eme colonne :Dose active.

Vous remercians d'avance!
A bientot!!

Pour tous renseignement sur SISERI le mieux est d'appeller l'IRSN!

Que la dosimétrie passive soit supérieure à l'active, rien de bien inquiétant. Le dosimètre passif va "enregistrer" en continu la dose, le dosi op uniquement en zone contrôlé. Tu ne prendras pas l'irradiation naturel.

Passé cette explication un peu simpliste, rien d'alarmant si les écarts ne sont pas excessifs et restent dans le même ordre de grandeur. Argh, si t'es dans le coin, tu aurais un complément de réponse ?

Pour info suite à La réponse de l'équipe SISERI.Les doses complémentaires sont.
Composantes x à la poitrine
Doses neutron et neutron thermique
Dose HP(0,07)
Doses extrémités, main et poignet
Doses corps entier:cumul annuel,sur 60 mois,cumul carriére
Doses à l'abdomen et au cou
Dose FL16,FL17.

En cliquant sur la colonne dose complementaire normalement on peut visualiser le type de celle-ci à priori
mais,mais il faut etre MDT

Bonjour
Absolument. C'est d'ailleurs une demande que nous allons faire (à un autre titre) à l'IRSN.
KLOUG

Cela peut étre intérréssant en cas d'incident ou d'accident (au quel cas la PCR peut avoir l'info via le MDT) mais sinon seule la dose efficace sur les douze derniers mois et utile à la PCR.

Et les doses extrémités ?
Et les doses "internes"...?

Pour les dose extrémités oui,
Mais la dose interne non (sauf cas d'incident/d'accident).

Bonjour
Et pourtant connaître la dose interne serait fort utile pour certaines études de poste et dotation d'équipements de protection.
KLOUG

Kloug,
Les limites réglementaire (corps entier) étant en dose efficace, je ne vois dans quels cas le passif de la dose équivalente engagée peut avoir une influance sur l'étude de poste?
Quand au équipement de protection, ils doivent de toute facon étre choisi pour suprimer le risque d'exposition interne.

Hello
Ah ? Pour moi j'appelle ça le retour d'expérience et c'est là où on découvre des contaminations internes alors qu'il ne devait pas y en avoir.
Et pour les EPI encore faut-il qu'ils soient judicieusement choisis et que "quelqu'un" soit capable de dire qu'ils conviennent.
Désolé mais nous avons quelques situations de ce genre à traiter.
KLOUG

OK,
C'est ce que je considére comme un incident...

Bertille a écrit:

Question (idiote ?) : pourquoi est-ce que les PCR n'ont pas accès à ces doses (comme pour la dosimétrie opérationnelle) sur un an glissant ? Embarassed
Cela pourrait être utile pour les études de postes......

,
NON TA QUESTION N'EST PAS IDIOTE Bertille!!!!!
Les employeurs, l'ASN et les autres savent bien trouver les PCR, pour leur faire porter le chapeau, lorsqu'il y a un problème ; il faudrait peut être leur donner les moyens, aux PCR, pour faire leur travail !!!!! Si ils sont responsable, il faut leur faire confiance sur la confidentialité des résultats !!!!
Et quant a l'utilité pour les études de poste, tu as encore raison !!!!

Bon, je sais, vu le temps que les employeurs donnent aux PCR pour faire le travail plus les primes astronomiques aux PCR, ces derniers se plaignent la gueule plaine (deuxième degré)

Skat

Par exemple :
Il suffit d'entreprendre un assainissement d'un local sans savoir ce qu'il a pu contenir ou les opérations qui ont eu lieu. Découvrir a posteriori qu'il y avait des taches de contamination fixées qui n'avaient pas été répertoriées (avec un prélèvement narinaire). La contamination venant de la destruction du support en pensant qu'il n'y a rien (en toute bonne fois). Cela peut constituer un rex pour les opérations suivantes et avec la dose interne adapter les protections.
KLOUG

C'est vrai!
Merci pour ce rex

De toute façon, il me semble que la limite réglementaire de 20 mSv sur les 12 derniers mois concerne la dose efficace TOTALE (Externe + interne)! Alors moi, je veux bien aller en tôle, mais si on me permet de suivre le TOTAL!

Laïka

Quand à la normalité des doses passives supérieures aux doses opérationnelles, elle est très circonstanciée!
Soit, il y a beaucoup d'accès en zone uniquement surveillée, soit je vous rapelle que c'est le rôle du dosimètre témoin de retirer la radioactivité naturelle!
Quand nos fournisseurs (LCIE et IRSN par exemple) nous permettront-ils d'avoir autant de témoin que de dosi? Ben oui, le temps où les travailleurs ne bossaient que sur un seul poste de travail, sur le même lieu géographique toute l'année est REVOLU! Ils bougent maintenant! Dans la majorité des cas, adieu le ratelier! Dailleurs, il faudrait peut-être aussi fournir un accéssoire de stockage mobile de protection de la dosi passive, vous ne croyez pas?
Bon, premier jour de vacances ... et , je râle encore!
Bon Week-end à tous
Laïka

Remarques trés pertinente Laika.

Malgrés cela lorsque tu parles du ratelier mobile je sens bien que tu t'exprimes de maniére incisive et que tu a une dent contre le systeme ,il faut que j'en parle à carrie

Citation :

Merci Kloug de ton soutien : je me sens moins seule... Embarassed

Rassures-toi Bertille on est plusieurs !
Accéder aux informations doses extrémités et doses internes serait effectivement normal pour les PCR, ne serait-ce que pour valider les évaluations de risque et permettre d'adapter les moyens de protection ! C'est une aberration que cela n'ait pas été pris dès le début... même si je pense que les questions de confidentialité des données sont importantes.

Bonjour,
Je viens de participer à une analyse d'un évènement significatif de radioprotection.
Pour celui comme pour les précédents, les médecins du travail participe à l'analyse, mais c'est bien la PCR qui jongle avec les données dosimétriques.
Attendre que le médecin du travail les récupère sur SISERI et nous les transmette est un délai supplémentaire (quand il a pensé à renouveler son certificat SISERI ...).

Un petit groupe de radioprotectionnistes de terrain porte la réflexion à l'échelon national. Pour reprendre l'expression de l'un d'eux (PCR et médecin) : "La donnée dosimétrique n'est pas un secret médical mais une donnée confidentielle. La PCR est simplement soumise à cette confidentialité."

Nous avons réglementairement accès aux douze derniers mois de dosi passive, parfois ce n'est pas assez.