Le problème est plus de savoir si les assistantes sont exposées au risque ou non. Dans ce cas, c'est l'étude de poste qui rend "obligatoire" le port du dosimètre ou non.
Il est vrai qu'après 68, tout le monde a posé des trisecteurs verts aimablement fournis par l'Apave dès lors qu'il y avait un générateur quel qu'il soit dans une salle. Ensuite, on commandait des dosimètres passifs (films) à l'IRSN pour chacun, et la radioprotection était terminée.
Mais ça, c'était avant...