aptitude médicale personnels non catégorisés

Dans certains cas, je pense qu'il faut songer plutôt que le dosimètre est mis en place pour s'assurer de manière "sure" que la personne soumise mais non catégorisée n'atteint pas (et ne peut atteindre) les 1 mSv.
Et c'est ça que nous voulons dire. Qui dit dosimètre ne signifie pas forcément que la personne VA être classée. C'est déjà le cas aujourd'hui notamment dans l'industrie pétrochimique. Et nos divers MdT ont un besoin fort d'éducation à ce sujet 
L'avantage étant que désormais, SISERI aura bien tout le monde niveau enregistrement et que les MdT auront bien accès aux doses des soumis non classés. Faut il encore que TOUS les MdT finissent pas avoir un accès à cette plateforme. Mais ça, c'est un autre débat.

Bonsoir,
J’ai un peu de mal à suivre...
Suivant l’ancien décret, la dosïmétrie était associee au zonage radiologique (passif en ZS et passif + opérationnel en ZC) et ce indépendamment du classement du travailleur.
Aujourd’hui, un travailleur classé est porteur d’un dosimètre à lecture différé et, si je ne m’abuse, on autorise (ou officialise   ) un travailleur non classé d’intervenir en ZS sans suivi dosimetrique de référence sous conditions .

j'ai aussi du mal a suivre, mais je dirais que certains confondent la cause et la conséquence

- le classement est lié à l'étude de poste
- le zonage prévoit aussi le type de dosimétrie
- le port de dosimetre ne préjuge ni de la zone d'intervention du travailleur , ni de son classement
- l'attribution du dosimetre chez IRSN obligeait à catégoriser A ou B

il peut donc y avoir confusion assez facile pour le médecin du travail

Sauf qu'il faut pouvoir prouver, à tout instant, que le travailleur non catégorisé ne dépasse jamais la limite réglementaire.
Et franchement, je ne sais pas faire sans dosimètre, surtout dans les ICPE. Mieux vaut avoir un enregistrement que rien du tout.