Merci pour ces questions. Effectivement la pertinence d'un dosimètres/radiamètres doit toujours se poser en fonction des paramètres d'exposition !
Certains de nos dosimètres sont plus adaptés aux champs gamma continus, d'autres aux champs pulsés. Il est indispensable de bien choisir son matériel en fonction des doses, débits, énergies, durée d'irradiation,... Je rappelle que Rium est un ensemble de produits. Attention aux raccourcis sur la gamme : rien à voir entre nos techno grand public, nos chaines de spectro gamma/neutron et nos dosimètres d'ambiance si ce n'est le préfixe Rium.
Si je comprends bien vous souhaitez avoir des retours d'utilisateurs. Je peux vous citer quelques clients dont le nom est public mais pas tous pour des raisons de confidentialité ! Voici 3 clients qui ont communiqué publiquement sur leur usages en radiologie : SELARL IMRO, clinique Axium, polyclinique Bordeaux Nord. Pour des mises en relation avec ces clients pour échanger sur leurs retours d'expérience, je vous invite à me solliciter par mail (et sans pseudonyme, à
gael@icohup.com).
De façon plus large je vous invite surtout à échanger avec votre inspecteur ASN : il ne validera pas la techno (contrairement à feu le CTHIR) mais l'usage qui en est fait.
En aucun cas un dosimètre d'ambiance ne peut remplacer un dosimètre individuel, qu'il soit opérationnel ou à lecture différé. L'avantage de notre technologie de dosimétrie d'ambiance connectée est d'améliorer la réactivité de l'analyse d'un événement (immédiate VS différé d'un mois) et la sensibilité (50 fois plus sensible qu'un dosimètre à lecture différée). cela permet la mise en place de CREX très pertinents !
La possibilité de retrait des dosimètres passifs est offerte par la règlementation dans un cas : l'absence de classement A/B d'un travailleur. Le classement en public d'un travail est possible exclusivement si l'employeur peut garantir une Analyse Individuelle d'Exposition inférieure aux limites légales
ET les moyens de surveillance appropriée permettant d'éviter et/ou de tracer toute dérive de la dose collective. Comme le fait remarquer Iron Kloug le bilan de l'IRSN est sans équivoque. Une grande partie des travailleurs classé n'a jamais pris et ne prendra jamais de dose. Pour ces travailleurs, l'objet de la surveillance doit être sur deux axes : la pédagogie et le risque d'accident. Ces deux éléments sont mieux géré avec des dosimètres actifs : d'ambiance (tel que RiumBox)
ET le port indispensable et obligatoire d'un dosimètre opérationnel pour l'accès aux zones exposées.
Suivre l'exposition de tous les travailleurs en temps réel nous semble être une avancée majeure pour la radioprotection !
Concernant nos qualités de mesure en radiologie, on va principalement regarder des doses (et pas les débits qui ont peu de sens sur les champs pulsés), je vous renvoie vers ces intercomparaison :
Dentaire : https://icohup.com/radioprotection-cabinet-dentaire/
Médecine nucléaire : https://icohup.com/dosimetrie-temps-nucleaire/
(et une belle étude en cours de réalisation en partenariat avec un de nos clients, hâte de la publier

)
Voici quelques résultats :
N'hésitez pas à prendre contact avec notre équipe commerciale pour une démonstration ou une mise en relation avec un client qui peut partager son expérience !